Afin de joindre l’acte à la parole, j’ai entamé aujourd’hui une tournée de concertation avec l’ensemble des candidats, en commençant par Le Pr. Maurice Kamto, acteur majeur de l’opposition camerounaise, avec qui nous œuvrons depuis plus de trois ans à la mise en place d’une plateforme pour la réforme consensuelle du Code électoral.

Il faut le dire avec force : le système a été profondément injuste envers ce candidat de l’opposition et envers bien d’autres. En tant que femme engagée et Président d’un parti d’opposition, je sais de quoi ce régime est capable. Voilà pourquoi nous appelons, avec fermeté et responsabilité, à une rupture totale, afin que plus jamais le Cameroun ne revive un tel système.

Le Cameroun mérite une nouvelle ère : je m’y engage.

Hon. Tomaino Ndam Njoya
Président de Union Démocratique du Cameroun (UDC)
Candidat à l’élection présidentielle 2025.

Après avoir annoncé samedi dernier sa volonté de s’effacer pour céder la place à toute candidature qui ferait plus d’unanimité parmi ses pairs, une dizaine de leaders des partis politiques s’est aussitôt liguée derrière sa candidature.

La candidature de L’Honorable Tomaïno Ndam Njoya s’épaissit de jour en jour, c’est le moins que l’on puisse en dire. En dépit de ses dispositions affichées et déclarées de s’effacer si les circonstances l’exigeraient au profit d’un éventuel candidat qui aurait plus le vent en poupe qu’elle, la convergence autour d’elle ne faiblit point.Tout se passe un peu comme si ces leaders politiques ont apprécié la sortie de la candidate et ont tenu à lui faire savoir surtout comme l’affirment certains parmi eux, << elle a les mains propres. Loin des bruits des casseroles qui accompagnent certaines candidatures >>. Au nombre de ces leaders qui ont eu avec la candidate une réunion de concertation et de prospection liées à la présidentielle d’octobre prochain, il y’a le Dr Ayissi Yves Patrick de l’Unpj, Muliom Mama de l’Upc, Tule G. Roger de Dlc, Simo Mambou Isaac de l’Upa, Tamdie Benjamin de l’Ucpn, Wandja Micheline du Fc, Ibrahim Yiche de l’Acrtion, Bayemi André de Fdp, Shewa David Damuel Jestiel de Ld et Olinga Cyprien Aimé de Fdr entre autres. Tous ont dit, en plus des représentants de la société civile, leur ferme volonté de s’aligner résolument derrière la candidature de Tomaïno Ndam Njoya et de l’accompagner partout où besoin sera. Les réunions des prochains jours viendront les mettre d’accord sur l’essentiel des points dignes de convergence. Décidément, la vertu en politique fait des émules.

Lors d’une rencontre précampagne dans la région de l’Est, la candidate de l’Union démocratique du Cameroun  a promis de lutter pour l’égalité de chance, contre la corruption et d’octroyer des postes stratégiques aux femmes dans un gouvernement réduit.

  Le 30 août 2025, lors de sa rencontre avec les militants et sympathisants  à Bertoua, la candidate de  l’Union démocratique du Cameroun (UDC) à l’élection présidentielle du 12 octobre 2025 a prêté une oreille attentive à la communauté Mbororo, un groupe marginalisé et défavorisé venu à sa rencontre. Dans sa prise de parole, le porte-parole de cette communauté a dévoilé et dénoncé la violation de leur droits politiques et sociaux caractérisée par la marginalisation lors des élections locales et le droit d’accès à la propriété foncière.

« Les Mbororos militent dans tous les partis politiques mais ils n’ont jamais été tête de liste lors des élections locales dans la région de l’Est », déplore le porte-parole de cette communauté. Une dénonciation qui rejoint celle qu’avait fait Venant Messè de la communauté Baka lors des élections sénatoriales de 2018 lorsque sa candidature sur la liste du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) avait été rejetée. La victime, originaire de l’arrondissement de Diang, département du Lom-et-Djerem, avait alors fait une sortie médiatique pour dénoncer cette violation des droits politiques des Baka, un groupe minoritaire de l’Est.

Ses priorités

Réagissant à cette violation, Patricia Tomaïno Ndam Njoya a expliqué que dans une République comme le Cameroun et de part la constitution en vigueur « tout Camerounais est supposé avoir les mêmes droits politiques partout où il se trouve. Il n’est donc par normal de continuer à maintenir des notions comme « autochtones » dans la constitution ».

Occasion pour celle qui est également maire de la Commune de Foumban dans la région de l’Ouest de présenter son programme avec en première ligne, l’épanouissement de la femme et les couches défavorisées si elle est élue présidente de la République le 12 octobre 2025. « Je suis la seule femme retenue pour l’élection présidentielle du 12 octobre 2025 ». Ainsi, pense Patricia Tomaïno Ndam Njoya, en tant que présidente de la République, les femmes seront nommées à la tête des ministères de souveraineté tout comme la révision du statut de la femme dans le mariage, en particulier la suppression de l’appellation dépréciative de « ménagère ». En plus, le Code de la famille figure également parmi les priorités de l’unique femme à la course présidentielle de 2025. Un argumentaire soutenu par le fait que les femmes représentent plus de 50,6 % de la population selon l’Institut national de la statistiques (INS).

Sur le plan de la gouvernance, la candidate de l’UDC a révélé que la lutte contre la corruption est une urgence au Cameroun. Un fléau favorisé par le gouvernement pléthorique actuel. Il est donc question de dégraisser le gouvernement pour avoir un maximum de 17 postes ministériels après son élection à la tête de l’Etat le 12 octobre 2025.

Sébastian Chi Elvido à l’Est

La candidate de l’Union démocratique du Cameroun y était, jeudi dernier, pour une rencontre avec les structures de base.

Il n’était pas facile, jeudi le 04 septembre 2025, en début d’après-midi, de se frayer un chemin au centre-ville de Kribi. Des populations de la ville, au marché de Nkolbiteng, ont mobilisé un cortège d’accueil pour Hermine Patricia Tomaïno Ndam Njoya. La candidate de l’Union démocratique du Cameroun (UDC), venue à Kribi pour une rencontre avec les structures de base de son parti, a été portée en triomphe par ses militants et sympathisants. Vendeurs à la sauvette, revendeuses, conducteurs de mototaxis et même des passants, chacun voulait échanger avec la présidence nationale de l’UDC.

Au stade municipal d’Afan Mabé, lieu du rendez-vous, c’est le grand décor aux couleurs de l’UDC. Dans un concert de trompettes, de tambours et bien d’autres instruments d’animation, Hermine Patricia Tomaïno Ndam Njoya prend la parole. « Nous sommes venus prendre la température. Et je confirme qu’elle est bonne », lance-telle. L’unique femme à la course à la présidentielle de 2025 va dire à la foule qu’elle est celle qui permettra au Cameroun de respirer un souffle nouveau. « Tous les Camerounais veulent le changement. Et c’est avec vous, le peuple souverain, que nous allons réussir », dira-t-elle. Pendant une vingtaine de minutes, la candidate de l’UDC, que la foule de Kribi a baptisée « La dame de fer », va donc donner les raisons du changement de régime. Pour elle, l’éducation, la santé, l’économie, la sécurité, pour ne citer que ces domaines, battent de l’aile. Patricia Tomaïno Ndam Njoya ne va pas oublier la corruption et le tribalisme qui persistent. Elle fait donc savoir à la foule que des 12 candidats en lice, elle est l’unique à trouver de meilleures solutions. Le mauvais état de la route Edéa-Kribi ne l’a pas laissée indifférente. « C’est grave pour une ville balnéaire », a-t-elle déploré. La candidate de l’UDC, tend aussi la main aux jeunes. Elle leur a rappelé qu’ils ont le pouvoir et c’est la raison pour laquelle ils doivent voter pour leur avenir.

Le président national de l’Union démocratique du Cameroun (Udc) en a fait un grand écho au sein de ses partisans ce 30 août.

La patronne de l’Udc, tout au long de son périple du Grand Nord à Bertoua, s’est voulue pédagogique dans son discours. Mais devant des citoyens chauffés politiquement à blanc, la tâche n’est pas des moins ardues. Après son exposé sur des thèmes qui lui sont chers à l’exemple du rôle d’un parti politique, les droits et les devoirs du citoyens, la question des jeunes et des femmes dans le biotope politique camerounais, les missions d’un chef d’État, les implications du vote pour un citoyen, la candidature consensuelle, est arrivée le temps des échanges avec le public. A écouter les questions qui fusent des hommes, des femmes et des enfants, on comprend que tous sont déterminés d’en découdre ou d’en finir avec le régime actuel le 12 octobre prochain..Devant les maux que les uns et les autres stigmatisent en chœur, à moins d’un mois et demi de l’élection, on peut sans risque de se tromper déduire que le candidat du parti au pouvoir aura fort à faire pour conserver les acquis dans les urnes..<<43 ans, ça suffit ! Non, merci! On n’en veut plus>>, résume à la perfection cet état d’esprit où le pouvoir de Yaoundé qu’il le veuille ou pas, est accusé de tous les péchés impénitents. L’heure est désormais aux forces du changement qui œuvrent pour une alternance au sommet de l’État. A côté de cette réalité, il y a eu à Bertoua l’installation de deux bureaux : le comité mixte du village Ndembo et le Comité mixte départemental du Lom et Djerem..Bien plus, les responsables sont désormais tenus par l ‘obligation de travailler avec Elecam pour avoir le ‘nombre exact des bureaux de vote dans leur circonférence politique. Ces données vont permettre de lancer la formation des scrutateurs de l’Udc. Il est question par la suite de mutualiser les forces pour une surveillance optimale du vote..Dire que Tomaïno Ndam Njoya fait des émules au cours de cette tournée est un euphémisme. En dépit de sa grande discrétion parce que la campagne n’est pas.legalement ouverte, les Camerounais rencontrés au cours du grand périple dans le septentrion et à l’Est, à savoir Maroua, Yagoua, Garoua, Lagdo, Ngaoundéré, Meiganga, Bertoua et Abong-Mbang sont déterminés d’écrire une nouvelle page du Cameroun avec L’Honorable Tomaïno Ndam Njoya. Le 12 octobre se chargera de faire toute la lumière, de commencer un nouveau chapitre de l’histoire du Cameroun.

C’est en ces termes que le président départemental Udc du Mayo Danay, Monsieur Vandou , par ailleurs un des vice-présidents du parti, a accueilli la candidaté de l’Udc à la présidentielle..

Après Maroua la veille, le président national de l’Union démocratique du Cameroun (Udc), a rallié le pays Massa ce 27 août 2025. Dans son mot de bienvenue et à une quarantaine de jours de l’élection, l’homme politique est plus que jamais convaincu de la victoire de Tomaïno Ndam Njoya au soir du 12 octobre prochain. << Soyez la bienvenue à Yagoua, Madame le président de la République>>, a suscité des ovations et des youyous dans l’espace convivial qui accueillait un beau monde. << Il ne suffit pas de dire qu’on est président et cela arrive! Il faut aller voter effectivement, massivement et surveiller son vote>>, est la réponse de L’Honorable Tomaïno Ndam Njoya à son interlocuteur et militant. En saisissant ainsi la balle au bond, elle a reconnu toute la pertinence des propos sans filtre du président départemental Udc du Mayo Danay. Pour les renchérir, elle a précisé que les femmes gardent mieux les familles que les hommes. Et pourquoi pas une femme au sommet de l’Etat camerounais? La question est pressante face aux deux premiers pouvoirs tenus de mains de fer par les hommes. Davantage, l’actuel suscite plus de passion pour une alternance genre au sommet de l’Etat. La masculinité militaire a déjà conduit à un conflit ouvert dans les deux régions anglophones du pays, ce qui oblitère gravement le potentiel d’émergence du pays. Par la suite, elle a explicité sa vision du Cameroun. Une nouvelle Ère en parfaite rupture avec les pratiques du régime de 1982. La liberté des Camerounais de participer activement à la construction de leur pays, de jouir sans exclusive de la prospérité collective car le Cameroun est par nous tous et pour nous tous. Après cette phase de présentation de sa vision du Cameroun, elle a insisté sur la nécessité pour chaque citoyen d’aller voter le 12 octobre prochain. Le Maire de Koutaba, Ibrahim Koutaptou, comme à Maroua, a brossé le mécanisme de surveillance du vote. On ne gagne pas une élection au Cameroun par le seul faut d’avoir voté. Il faut respecter les consignes tout au long du processus jusqu’à l’antenne communale d’Elecam où tous les résultats obtenus sont exactement compilés et le registre dûment signé par les différentes parties prenantes est remis au représentant du parti. Il a insisté sur l’obligation pour tous d’aller retirer les cartes de vote auprès des antennes d’Elecam,..

Échanges avec le public

Les femmes et les jeunes sont au centre des préoccupations de la candidate Tomaïno Ndam Njoya. Ces deux couches populaires sont de loin les plus importantes mais les plus marginalisées de la démographie camerounaise. Le chômage des jeunes, le banditisme, la drogue sont les maux qui minent la jeunesse de Yagoua. Au niveau des femmes, la pauvreté est ambiante. Face aux changements climatiques et à l’insécurité, elles sont obligées de brader leurs récoltes aux premiers venus. Les inondations frappent aussi de plein fouet les biens et les personnes. Celle qui porte la candidature de l’Udc a clairement dit qu’il est possible de rompre avec la chaîne du mal. Il est désormais possible question, à l’heure où toute la Nation a un rendez-vous avec son histoire, que tout le Mayo Danay se lève comme une seule.personne pour infliger un sérieux revers au candidat du parti au pouvoir à l’élection présidentielle.

Il y a lieu de souligner que la seule femme candidate à cette élection n’a pas dérogé ici à la règle de civilités républicaines qui lui sont chères..Elle a commencé ses activités par une visite de courtoisie aux autorités administratives dont le préfet de Mayo Danay et le sous-préfet de Yagoua. Tout juste après va suivre un tour de ville. C’est après ceci que le cap est mis sur le lieu de la rencontre entre le président et les militants volontaires de se former pour être scrutateurs dans les bureaux de votre pour le compte de l’UDC. Le Président départemental de l’Udc du Mayo Danay va dire toute la joie de son département d’accueillir L’Honorable Tomaïno Ndam Njoya. Le Mayo Danay dirait-on par la ferveur observée, déclare la candidate de l’Udc Madame le Président de la République. Reste maintenant aux urnes de le confirmer.

Le Président National de l’Union Démocratique du Cameroun (UDC), en plein échange, en toute convivialité avec les scrutateurs de Maroua 1er. Elle a exposé avec précision ce qu’est <<La Nouvelle Éthique républicaine>>. Un des piliers majeurs qui irrigue l’indispensable réforme institutionnelle au Cameroun.. Des institutions au service du bien-être national. Des institutions de la Nouvelle Ère , où tous les Camerounais sont libres, responsables et participent activement à la construction du pays. Tous les Camerounais ont droit au chapitre, sans considération aucune de leurs origines, de leur religion, de leur genre ou de leurs avoirs.
Avec TOMAÏNO NDAM NJOYA, les Institutions fortes prendront le pas sur les individus. La Nouvelle Ère est déjà sur les rails.

L’acte un de la journée s’est ouvert avec la visite de courtoisie aux autorités administratives.. La délégation s’est rendue tour à tour dans services du gouverneur et chez le sous-préfet de Maroua 1er. Après les autorités administratives, la délégation a mis le cap sur les espaces culturels de le ville. L’Espace public de Maroua, le Musée artisanal de Maroua et la bibliothèque Djaili Amadou Amal. Ce haut lieu de la culture compte environ 5000 livres.

L’acte deux et par ailleurs le clou de la journée marathon, est marqué par l’ouverture de l’atelier de formation des scrutateurs de l’UDC dans les bureaux de vote lors de la prochaine présidentielle d’octobre et aussi de l’installation des équipes de direction de la campagne à cette élection.

Formation des scrutateurs

Dans le Diamaré, Elecam va ouvrir 1223 bureaux de vote le 12 octobre prochain. Dans Maroua 1er où se tenait l’atelier 250 bureaux de vote seront ouverts. Ce tableau met en lumière la tâche herculéenne de la formation des formateurs des scrutateurs à Maroua. En lançant la formation qui se décline sur deux modules, L’Honorable Tomaïno Ndam Njoya a invité ses filleuls sur le terrain des enjeux politiques de cette élection présidentielle. Elle a rappelé que les électeurs sont les vrais souverains, ils détiennent le pouvoir. A aucun moment, il ne faut pas l’oublier, a-t-elle insisté. Toujours dans cette foulée, elle a souligné que sa responsabilité première est de demander à la population de Maroua et de tout le Cameroun de voter pour l’Udc. Une ère nouvelle est là, en toute rupture avec l’ordre de 1982, une ère nouvelle où tous les citoyennes et citoyens sont responsables, dans un Cameroun qui se construira par tous les Camerounais et pour tous les Camerounais. Un Cameroun où les libertés et les droits de tous sont assurés. Elle a davantage interpellé les femmes qui étaient les plus nombreuses à jouer le rôle qui est le leur. Elles sont les plus nombreuses et devraient savoir défendre leur droit en votant utile. Depuis 43 ans, la misère ambiante, le chômage touchent particulièrement les jeunes et les femmes pourtant les couches de la population la plus nombreuse. La mal, a-t-elle reconnu, vient surtout des décisions des pouvoirs publics qui sont prises sans aucun impact réel sur la vie des populations. En plus, elle a identifié les problématiques de l’insécurité et du changement climatique comme les facteurs clés du mal-être dans toute la région de l’Extrême-Nord. Suite à ceci, L’Honorable Tomaïno Ndam Njoya a invité particulièrement ces deux couches de la population à ne pas céder au découragement. Il est question d’aller voter massivement et surtout de surveiller son vote. Pour terminer la patronne de l’Udc a indiqué que des kits composés des textes du parti et des gadgets devaient être remis aux responsables locaux du parti à différents niveaux.

Échanges avec les apprenants

L’Honorable Tomaïno Ndam Njoya a voulu certainement booster le moral des apprenants en leur rappelant qu’ils sont un peuple résilient en dépit des difficultés ambiantes. En répondant aux diverses préoccupations, des points saillants suivants se dégagent. La nécessité pour l’Udc dans la région de s’organiser pour être forte. <<Si vous êtes organisés, vous allez pouvoir surveiller vos voix. Le Rdpc ne nous fait pas de cadeau. On se défend..on surveille nos votes>>, a-t-elle précisé.. A côté de l’organisation , il y l’engagement. C’est par là qu’on surveille son vote. Le 3ème point retenu est l’éthique républicaine si chaire à la candidate. Au Cameroun aujourd’hui, la parole donnée n’a plus de sens, aucune valeur n’est respectée. Il faut impérativement, a reconnu l’unique candidate femme à l’élection présidentielle, retourner au respect des valeurs même au sein de la République. Il faut respecter les lois et sanctionner ceux qui les violent. Les Institutions et les pouvoirs doivent être séparés. Dans ce sens , elle a indiqué l’impérativité d’une modification constitutionnelle. Avec. l’éthique républicaine l’administration doit être neutre. La politique est un art et une science. L’article 66 de la Constitution portant sur la déclaration des biens tarde depuis 1996. L’éthique est l’application et la sanction..Il faut aussi qu’il y ait un médiateur de la République, le défenseur de le République. Le Médiateur est une réalité qu’il faut au Cameroun pour préserver les droits des plus pauvres contre les plus puissants.

Le candidat de l’Union Démocratique du Cameroun (UDC), à l’élection présidentielle du 12 Octobre 2025 peut s’estimer grand bénéficiaire du Congrès Extraordinaire du Front Camerounais, parti politique présidé par Chantal Kambiwa.
Réunis le 23 Août 2025 au Palais des Congrès de Yaoundé, les congressistes ont porté leur choix sur le seul candidat féminin des 11, qui devront affronter celui du parti au pouvoir, le RDPC.
Le Front Camerounais n’était pas seul. Ont aussi à cette occasion rallié la candidature de Hermine Patricia Tomaïno Ndam Njoya, le parti politique Action dirigé Ibrahim Ymché, ancien Délégué Général des étudiants de l’Université de Ngaoundéré et ancien Coordinateur national du Mouvement Now ; Une faction de l’UPC et Chantal Adélaïde Tagne Membouet, candidate déclarée pour le parti Univers et recalée par Elecam.

 

L’Honorable Tomaïno Ndam Njoya, accompagnée par une Association des femmes, rend visite à la famille de Nga Annie Florentine qui a perdu son fils ainé du fait des actes terroristes de Boko Haram. L’Honorable TOMAÏNO NDAM NJOYA a dit toute la solidarité et la compassion de cette Association et de la sienne à cette famille éplorée. Elle a offert à cette famille , si elle le désire, de venir passer un temps de restauration et de repos à Foumban. La prière a mis un terme à la rencontre.